Deux invitations importantes

Pour la première, c’est demain, dépêchez-vous !

Deuxième invitation : Bernard Grasset membre du groupe AJCF de Vendée, spécialiste de la poétesse Rachel –il a écrit 2 livres à son sujet et traduit tous ses poèmes — nous invite à un hommage à la poétesse RACHEL, figure majeure de la poésie contemporaine hébraïque. C’est aux Sables d’Olonne, mais cela vaut certainement le déplacement !

Share Button

Yom haShoah, journée du Souvenir

Officiellement , Yom HaShoah « Journée du souvenir pour la Shoah et l’héroïsme ») est une date fixée par l’État d’Israël dans la seconde moitié du xxe siècle. Cette année, la date retenue est lundi prochain 06 mai.

Comme nous le rappelle Wikipedia, Initialement conçue pour rendre hommage aux insurgés du ghetto de Varsovie et aux partisans juifs dans lesquels ils voient autant de frères d’armes ou précurseurs des pionniers de la nation israélienne, la journée s’étend à mesure de la compréhension du phénomène à l’ensemble des victimes de la politique nazie d’extermination du peuple juif, et présente Israël comme le seul refuge véritable des Juifs dans le monde. Elle dresse par conséquent un bilan annuel de la prévalence de l’antisémitisme dans le monde.

A Nantes, une première commémoration, propre à la France, (journée du souvenir des victimes de la déportation), a été célébrée dimanche dernier à la synagogue, en présence des autorités civiles et politiques (suivre le lien ici)…

Ce dimanche 5 mai 2024, le CCAN (Centre culturel André Néher, et l’ACI (Association cultuelle israélite) de Nantes, nous invitent

à 17h30 pour célébrer

Yom-Ha Shoah

« Journée du souvenir pour la Shoah et l’héroïsme ».

Voici la présentation que nous livre l’ACI :

« Cinq élèves de terminale se sont engagées cette année scolaire sur le Concours National et de la Résistance et de la Déportation dont le thème était : « Résister à la Déportation». Ainsi que sur le concours   organisé par le FSJU. Elles ont réalisé un formidable travail sous forme d’un album autour de la vie d’Anja et Ruth Schaul, juives d’origine allemande, et ont souligné, c’était leur thème de travail, les manières dont un certain nombre de personnes ont tenté de protéger Anja tant à Sainte-Anne-sur-Brivet qu’aux Rosiers-sur-Loire. Cette réalisation collective vient de remporter le deuxième prix (sur 65) sur l’Académie de Nantes et les élèves seront reçues pour la remise du prix le 3 juillet 2024 à la Préfecture de Loire-Atlantique à Nantes.

 Un témoignage émouvant d’un épisode de la Shoah qui a eu lieu en Loire-Inférieure, comme on disait à l’époque.

Il sera  suivi à 19h d’une cérémonie, à la synagogue qui, comme chaque année, rendra hommage aux 6 millions de juifs victimes des nazis et de leurs collaborateurs. »

Soyons nombreux à ne pas oublier

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Zakhor.jpeg.

Share Button

Grande fête pour nos amis juifs : Pessa’h (Pâque)

Pessa’h (la Pâque en hébreu), est une des trois fêtes de pèlerinage du calendrier juif. Quelquefois, elle tombe en même temps que la fête de Pâques chrétienne. Ce n’est pas le cas cette année 2024, pour une raison de différence de calendrier. Elle début le 15ème jour du mois de nisan (début la veille au soir 14 nisan 22 avril  ) et se poursuit sept jours durant en Israël et huit en Diaspora (dont seuls les premiers et les derniers sont totalement fériés 30 avril)

Pour vous présenter cette fête de Pessa’h, il est intéressant d’entrer dans le texte de Dominique de La Maisonneuve, (prix AJCF 2012 avec Louise-Marie Niesz), dans son ouvrage : « Le Judaïsme« , aux éditions de l’Atelier (p. 113-114) :

« Selon la Torah, la Pâque doit toujours avoir lieu au printemps, le quatorze du mois de Nisan (Ex 12,6) mois de la sortie d’Egypte (Ex 23,15) : « Observe le mois d’Abib (des épis, en cananéen, le premier mois de l’année, c’est-à-dire Nisan) et célèbre la Pâque pour le Seigneur, ton Dieu » (Dt 16,1). Pour permettre ce rythme annuel avec des mois lunaires, on en ajoutait tous les deux ou trois ans, un treizième aux douze des années habituelles.

Aux temps bibliques, les nomades fêtaient, à cette saison, deux événements concomitants : l’un agricole, le début de la moisson d’orge; l’autre pastoral, le sacrifice d’un agneau consommé en famille.

Sur ces réalités significatives du renouveau de la nature, la tradition biblique va greffer un événement historique : la sortie d’Egypte. C’est un événement capital, fondateur du peuple, car il le fait passer – Pâque- Pessah – passage – de la servitude à la liberté. [Pessa’h indique aussi le fait que l’ange exterminateur soit passé par-dessus les portes des israélites marquées du sang de l’agneau. (Ex 12,13. 26-27) NDLR].  Comme le printemps, c’est le retour à la vie après la mort de l’esclavage, un renouveau opéré par Dieu lui-même, désormais Sauveur pour son peuple : « C’est moi le Seigneur, ton Dieu qui-t’ai-fait-sortir-du-pays-d’Egypte » ((Ex 20,2).

Quelques réflexions du rabbin Adin STEINSALTZ (1937-2020) pour aller un peu plus loin.

« La fête de Pessa’h, qui commémore la sortie des Hébreux d’ Egypte, marque de son empreinte tous les jours de l’année. L’Exode est rappelé dans les textes rituels de chaque fête comme dans ceux du chabbat. Quelle est donc son importance ?

Les fêtes juives revêtent avant tout un caractère historique, chacune rappelant un événement du peuple juif. Cependant, leur quintessence va bien au-delà. Commémorer un événement historique, c’est s’attacher non pas tant aux faits qu’à leur portée psychologique et émotionnelle. C’est pourquoi, si l’on veut vraiment saisir le sens profond des fêtes, il faut les percevoir comme des événements touchant notre vie individuelle, événements qui sont en même temps  le reflet de la vie collective de la nation. Une telle approche ouvre ainsi de nouveaux horizons sur une conception beaucoup, plus large des fêtes...

Mais c’est tout le chapitre qu’il faudrait lire ;  (Introduction à l’esprit des fêtes juives » chez Albin Michel (p. 188-189)« Le nom de la fête de Pessa’h s’appuie au départ sur le récit de la deuxième  plaie frappant les premiers -nés et épargnant les Hébreux, mais il va bien au-delà de ce simple événement historique. Ce « passage par-dessus », ce saut qui marque la distinction entre le peuple juif et les autres, est devenu le motif central de son existence au cours du temps… le peuple d’Israêl est cet « autre » éternel pour le pire et le meilleur. ..)

On pourrait tellement en dire, à travers toute la tradition d’interprétation juive depuis  plusieurs siècles !

 

Pour en savoir plus : pourquoi ne pas visiter le site de l’AJCF, (https://www.ajcf.fr/Pessah-5784.html)  qui vous invitera à faire une lecture au présent de la haggadah de Pessa’h, avec, entre autres,  un article d’Anne-Marie Dreyfus et  des chants de Pessa’h pour les enfants

 Et, bien sûr, toujours faire un petit tour sur le campus numérique juif, AKADEM : akadem.org    Vous ne serez pas déçus !

Joyeuses fêtes de Pessa’h  Hag Pessa’h samea’h  

Share Button

Atelier Qohélet, il reste des places..

N’hésitez pas à vous inscrire. Cela permet de voir les possibilités par rapport à la salle et de photocopier le nombre approximatif des documents qui seront distribués.

Vous pouvez re-voir l’annonce sur ce blog à la date du 18 mars.

Share Button

La Semaine sainte, grand moment pour les chrétiens

La Semaine sainte (nous y sommes) est pour les chrétiens la semaine précédant Pâques. Elle commémore la Passion du Christ. Le Triduum pascal de la Passion et de la Résurrection du Christ commence le jeudi soir de cette semaine et se termine le soir du dimanche de Pâques. Ces trois jours sont le sommet de l’année liturgique car c’est par sa mort que le Christ a détruit la mort et c’est en ressuscitant qu’il a restauré la vie.

La Semaine sainte commence le dimanche des Rameaux et prend fin à la veillée pascale (nuit du samedi de Pâques) où l’on fait mémoire de la résurrection de Jésus. En 2024, la Semaine sainte a débuté dimanche 24 mars.

Le dimanche des Rameaux (c’était hier donc,  24 mars, jour de Pourim pour les juifs), est un dimanche festif, car il célèbre l’entrée du Christ à Jérusalem, où il est accueilli triomphalement par le peuple tenant des palmes. Les fidèles apportent ce jour des rameaux et le prêtre les bénit. Cependant, la venue du Christ à Jérusalem marque le début de la Passion du Christ.

La messe chrismale, du grec χρίσμα / khrísma qui veut dire huile ou onction, et a donné Christ et chrétien, est la cérémonie au cours de laquelle l’évêque consacre le saint chrême (souvent le mardi de la semaine sainte, cette année ce sera demain 26 mars). Cette huile sert pour les baptêmes célébrés lors de la Vigile pascale et tout au long de l’année liturgique pour les sacrements de baptême, confirmation et ordre… L’huile parfumée indique la présence de quelqu’un qu’on ne voit, ni n’entend. Elle symbolise également une nourriture, un éclairage, un remède, un fortifiant. Avec le Saint chrême qui fait l’objet d’une consécration spéciale, deux autres huiles sont également bénites lors de la célébration :
L’huile des catéchumènes qui sert dans les célébrations préparatoires au baptême surtout pour les adultes ou les enfants déjà grands ;
L’huile des malades qui sert dans la célébration du sacrement des malades.
Cette célébration a ceci de particulier qu’elle est unique dans chaque diocèse. L’évêque concélèbre cette messe avec les prêtres de son diocèse afin de manifester l’unité de toute la communauté. Lors de la messe chrismale, les prêtres présents sont amenés à renouveler les promesses de leur sacerdoce.

Le Jeudi saint annonce la fin du Carême et l’entrée dans le mystère de Pâques. La messe du soir commémore le dernier repas, ou Cène, que Jésus a pris avec ses disciples au seuil de la nuit où il devait être livré. Jésus institue ce soir-là l’eucharistie. Il annonce que sa Présence demeure vivante dans le sacrement de son Corps et de son Sang. Ce soir-là, au cours de ce même repas, Jésus lave les pieds de ses disciples. Il s’agenouille devant chacun des douze, leur témoignant ainsi la tendresse qu’il a pour eux. Ce geste du lavement des pieds est repris durant la messe du Jeudi saint. Il signifie que nous devons tous être serviteurs des autres.

Le Vendredi saint, l’Église est en deuil, il n’y a pas de messe. Traditionnellement dans l’après-midi il y a dans chaque paroisse un chemin de croix, puis le soir une célébration liturgique, la célébration de la Passion et de la Croix, qui suit le même déroulement qu’une messe : trois lectures, la troisième étant la Passion selon saint Jean ; une prière universelle solennelle ; la vénération de la Croix.

Le Samedi saint est, pour les chrétiens, un jour de silence, d’attente et de recueillement. Ils méditent sur les souffrances de Jésus-Christ, sa mort et sa mise au tombeau. La célébration de la Résurrection commence le samedi soir lors de la veillée pascale.
La Vigile pascale est la cérémonie liturgique qui prélude à la fête de Pâques. Elle marque le début du temps pascal où le jeûne du carême et de la Semaine sainte est rompu. Historiquement, c’est au cours de ce service qu’on pratiquait les baptêmes et que les catéchumènes recevaient leur première communion. La Vigile se tient de nuit, entre le coucher du soleil du Samedi saint et le lever du soleil de Pâques.

Dans les Églises d’Occident, la Vigile pascale est une des plus importantes manifestations cultuelles de l’année liturgique. C’est à la Vigile pascale que, pour la première fois depuis le début du carême, on s’exclame « Alléluia ! », marque distinctive du temps pascal.

Dans les Églises d’Orient, les cérémonies festives des Heures canoniales et de la Divine Liturgie qui sont célébrées au cours de la Vigile pascale sont les plus élaborées et les plus importantes de l’année liturgique.

(Ce qui précède est extrait en grande partie du site du site du Cybercuré, qu’il est toujours intéressant de consulter.)

N’hésitez pas à vous rendre aussi sur le site (https://eglise.catholique.fr) de l’Eglise de France, où vous trouverez plein d’informations sur la Semaine Sainte et sur Pâques.

 

Pour une fois, juifs et chrétiens ne célèbreront pas ensemble la fête de Pâque. Nos frères juifs attendront le 23 avril pour célébrer le premier jour de la fête de Pessa’h, la Pâque juive. Nous en reparlerons.

Bonne Semaine Sainte et Joyeuses fêtes de Pâques à tous les chrétiens

en union avec tous nos amis juifs qui viennent de fêter Pourim et qui auront le bonheur  dans un mois de célébrer Pessa’h.

 

 

n

Share Button

Fête de Pourim

POURIM 2024

Après les grandes  fêtes d’automne, Roch Hachana, Kippour et Soucot  et avant la non moins grande fête de Pessah,
à la pleine lune de printemps, 

deux fêtes joyeuses rappellent aux communautés juives
d’importants événements de leur histoire :

C’était, en décembre, les lumières de Hanoucah,

rappel du miracle d’huile lors de l’inauguration
du Temple profané par les Grecs.

Dans quelques jours, ce sera la fête de Pourim.

De quoi s’agit-il à POURIM ?

A Pourim, il s’agit, comme à Hanoucah
de commémoration et d’action de grâce.

Cela se  passait  en Perse vers le milieu du 5ème siècle  avant notre ère.  Des juifs y étaient déportés.

Une jeune Juive, parmi les déportés, devint reine de Perse :
Esther, dont le nom signifie : « caché ».

Et le grand vizir, Haman, essayait
d’éliminer les juifs du royaume.

Haman dit au roi : « Il y a un peuple particulier,
dispersé et séparé au milieu des peuples  
dans toutes les provinces du royaume… 
Leurs lois sont différentes de celles de tout peuple… 
Le roi n’a pas intérêt à les laisser tranquilles » (Est 3,8).

Haman obtint du roi Assuérus un décret lui permettant de réaliser son plan de destruction.

Le roi Assuérus ne savait pas qu’Esther, sa jeune épouse, était juive.

Le mot POURIM dont le sens est « tiré au sort » fait référence aux dés lancés par Haman pour fixer
la date propice au massacre qu’il fomentait (Est 3, 7-17).

La reine Esther, avertie par son oncle Mardochée, du dessein d’Haman, se tourna vers D.,
elle pria, fit prier ; elle jeûna, elle fit jeûner ;
elle osa enfin aller trouver le roi… Un plan mûrit en elle…

Les péripéties de cette histoire tirée de la Bible sont écrites dans « le rouleau d’Esther ».

Il est lu  intégralement le jour de la fête.* Lisons-le aussi et retenons que le destin que Haman
a prévu pour les Juifs retombera sur lui…

Nous approfondirons ainsi le sens de la présence juive au sein des nations.

Nous comprendrons mieux la joie de POURIM.

A POURIM, en effet, c’est la joie : on se déguise, on mime, on festoie.

En célébrant POURIM les Juifs renouvellent l’affirmation de leur foi en D.

Ils fêtent leur salut, leur victoire sur l’ennemi :
Haman, archétype de l’antisémite.

La fête de POURIM est célébrée le 14 Adar du calendrier juif,
soit, cette année 2024, le 24 mars.

avec la commémoration du jeûne d’Esther dès jeudi 21 mars.

Vous pouvez en savoir davantage en lisant l’article paru sur le site du Service National pour les relations avec le judaïsme (SNRJ).

https://relationsjudaisme.catholique.fr/judaisme-vivant-aujourdhui/les-fetes/279-pourim/

Pourim

Nous souhaitons
une joyeuse fête de Pourim
(Pourim Saméakh)
à tous nos amis
de la Communauté juive.

  *  Racine, au XVIIème siècle en a fait l’objet d’une de ses tragédies.
Share Button

Nouvel atelier : Qohélèt, quelques clés du bonheur

Mercredi 3 avril 2024 de 15 à 17 h

Amitié judéo-chrétienne de Nantes

ATELIER

« Qohelet (L’Ecclésiaste) : quelques clés du bonheur« 

Animation : Pierre JOUNEAU

Bibliste, diplômé de l’Institut Biblique pontifical de ROME

ancien élève de l’Ecole Biblique et Archéologique française (EBAF) de JERUSALEM

PÔLE ASSOCIATIF « DÉSIRÉ COLOMBE », SALLE « JEANNE DEROIN »

8, rue Arsène Leloup NANTES 44100

Voici un livre bien énigmatique

« Vanité des vanités, tout est vanité ! » « Rien de nouveau sous le soleil ! » Qui ne connaît ces expressions ? Mais a-t-on lu en entier le petit livre d’où elles proviennent ?

C’est en effet un petit livre :

12 chapitres,  222 versets, qu’il est très recommandé de lire au préalable !

Vous nous direz, selon la Bible que vous utilisez, à quel endroit vous l’avez trouvé.

Et nous nous poserons, à son sujet, parmi tant d’autres possibles, que vous nous apporterez, un certain nombre de questions :

— Ecclésiaste, Ecclésiastique : pourquoi Qohélèt ?

— quelle est l’épopée la plus célèbre du Proche-Orient ancien ?

— rapprochement avec Qo 9,7-9 

— Qo 1,4-7 et les textes égyptiens

— difficile histoire de l’intégration de Qohélèt dans la bible hébraïque

— la vieillesse, la mort, la rétribution, la sagesse, etc.

Ce ne sont là, bien sûr, que quelques questions… pour amorcer la discussion

Vous viendrez avec les vôtres, avec celles que vous vous posez vous-même.

Quelques documents vous seront fournis pour faciliter notre étude.

IMPORTANT : N’oubliez pas d’apporter VOTRE BIBLE

20 PLACES  L’espace est restreint. D’où INSCRIPTION PRÉALABLE

06 03 53 48 63  Mail : p.jouneau42@orange.fr

Membre  AJCF > GRATUIT — Non membre > PAF 5 euros (participation aux frais)

 

Share Button

Simple rappel, mais néanmoins important

Nous vous proposons un après-midi convivial,  de partage, de questionnement et de réflexion.

Tout est dit dans l’affiche ci-dessous ! Echange – partage – convivialité, et la projection du film « CHAR LOTTE » de Eric Warin et Tahir Rana

 

« Charlotte est un film d’animation canadienbelgefrançais réalisé par Éric Warin et Tahir Rana. Le film retrace la vie de la peintre allemande Charlotte Salomon pendant la Seconde Guerre mondiale. Le scénario du film est librement adapté du roman graphique « Vie ? ou théâtre ? » de Charlotte Salomon. Il a fait sa première mondiale au Festival international du film de Toronto 2021 le 13 septembre 2021. »

Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charlotte_(film,_2021)

Share Button

Atelier reporté au 27 mars

L’atelier de M.P. Lemarié, autour du livre de Jules Isaac : « Jésus et Israël », qui n’avait pas pu avoir lieu, est reporté au

27 mars 2024

dans les mêmes conditions et les mêmes locaux salle Deroin

L’annonce ci-dessous reste donc valable. Cliquez sur le titre pour visualiser.

Share Button

Un joli concert ? Ce samedi à La Chapelle sur Erdre

Vous vouliez voir et entendre la Chorale Renanim, qui répète chaque semaine au CCAN.

C’est l’occasion ce week-end, où elle se produit, avec d’autres chorales, pour les « Restos du coeur » à la Chapelle sur Erdre.

L’image ci-dessous n’est pas terrible, mais vous avez tous les renseignements.

Share Button