Déc 22
Hanoucca 5785-Noël 2024 : Lumière et espérance en partage
Nous relayons bien volontiers un article du site national de l’AJCF.
« Cette année, la superposition des fêtes de HANOUCCA et NOËL est plus que jamais porteuse d’espoir pour le triomphe de la lumière, de la justice et de la paix entre les peuples.
Belles fêtes de la Lumière et de l’ Éspérance à tous et Paix sur le monde
– Pasteur et Rabbin en dialogue autour des sens de Hounoucca, Site Akadem
Ces deux fêtes sont symbolisées l’une, par l’allumage quotidien d’une bougie de plus chaque soir pendant huit jours par nos amis juifs, cette année à partir du 25 décembre au 2 janvier à la tombée de la nuit, et l’autre par l’allumage, pour nos amis chrétiens, d’une bougie de plus pendant les célébrations de l’Avent les 4 dimanches qui précèdent la date du 24 décembre, date à laquelle l’illumination de l’arbre de Noël dans plusieurs foyers, certains monuments et les rues de plusieurs villes occidentales est offerte à tous, comme signe de retour à la Lumière pour l’humanité toute entière. »
hhttps://www.ajcf.fr/Hanoucca-5785-Noel-2024-Lumiere-et-esperance-en-partage.htmlttps://ajcnantes.ovh/wp-admin/post.php?post=1981&action=edit
: Hanoucca 5785-Noël 2024 : Lumière et espérance en partage
Sympathique… le quotidien LE MONDE ( plus exactement LE MONDE DES RELIGIONS s’intéresse aussi à la simultanéité des 2 fêtes, dont vous pourrez voir au moins le début de l’article ici : https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2022/12/19/noel-et-hanoukka-sont-elles-des-fetes-jumelles_6154999_6038514.html
Mais pour en savoir plus sur le sens des fêtes Hanouca et Noël.
– Sur le sens historique de la fête de HANOUCA, appelée aussi fête de la dédicace-revue SENS
Joyeuses fêtes de Hanouca – Joyeuses fêtes de Noel
Déc 06
« La visite de la fanfare », vous connaissez ?
C’est le titre d’un film révélation de Cannes 2007, du réalisateur israélien Eran Kolirin.
Et ce film vous est proposé par l’AJC, groupe de Nantes,
au CCAN, 6 impasse Copernic à Nantes
mercredi 11 décembre à 15 h 00
Le sujet : Un jour, il n’y a pas si longtemps, une petite fanfare de la police égyptienne vint en Israël. Elle était venue pour jouer lors de la cérémonie d’inauguration d’un centre culturel arabe. Seulement, à cause de la bureaucratie, d’un manque de chance ou de tout autre concours de circonstance, personne ne vint les accueillir à l’aéroport. Ils tentèrent alors de se débrouiller seuls, pour finalement se retrouver au fin fond du désert israélien dans une petite ville oubliée du monde. Un groupe de musiciens perdu au beau milieu d’une ville perdue. Peu de gens s’en souviennent, cette histoire semblait sans importance…
Comique de situation absurde, un peu à la Jacques Tati, ce film nous promet de passer un bon moment de détente.
En effet, c’est certainement un bon moment à ne pas manquer !
Nov 20
« Ma rencontre avec Israël »
Info émanant du Service diocésain pour les relations avec le judaïsme.
« Dans le cadre de la rencontre annuelle juifs-chrétiens au cours de laquelle Mgr Laurent Percerou évêque de Nantes reçoit la Communauté juive de Nantes et M. le Rabbin Ariel Bendavid, le Service diocésain des relations avec le Judaïsme invite le père Bernard Fauvarque, jésuite à Lille, à livrer son témoignage : « Ma rencontre avec Israël »
le jeudi 28 novembre 2024 (18h – 20h) à la Maison diocésaine Saint-Clair.
Agé de 102 ans, le père Bernard Fauvarque prêtre est un acteur infatigable du dialogue et de l’amitié entre juifs et chrétiens. Il témoigne sans relâche de son amour pour le Peuple des enfants d’Israël, Peuple de l’unique Alliance de Dieu. Il appelle les chrétiens, plus que jamais en ces temps dramatiques au Proche Orient, à s’ouvrir à la source juive vivifiante.
Entrée libre mais réponse souhaitée au SDRJ : sdrj@catholique-nantes.CEF.fr
A l’issue de cette rencontre un verre de l’amitié casher sera servi ».
Nov 20
« Se souvenir ensemble »
Nous relayons bien volontiers l’invitation du Centre culturel André Néher (CCAN) pour
dimanche 24 novembre à 15 h
au CCAN, 6 impasse Copernic à Nantes
Claude et Evelyn Askolovitch viendront présenter leur livre et le dédicacer : « Se souvenir ensemble ».
C’est l’histoire d’Evelyn, déportée de Hollande, à l’âge de 4 ans
Sans être un récit sur la Shoah, c’est l’évocation des souvenirs d’une enfant qui a vécu cette tragédie
Mais c’est aussi l’histoire d’un long silence, jusqu’en 2015, date à laquelle Evelyn se décide à témoigner sur son passé, dans les écoles, dans les prisons……pour lutter contre l’oubli.
Son fils Claude est tout à son étonnement lorsqu’il constate que sa mère devenue » témoin professionnel » se confie davantage au monde extérieur qu’à sa propre famille.
C’est l’histoire d’Evelyn et de Claude qui, enfin, se parlent, se cherchent, s’agacent, se consolent.
La mère et le fils se souviennent et finissent par écrire ensemble.
Claude ASKOLOVITCH est journaliste et écrivain; vous pouvez l’entendre tous les matins présenter la revue de presse sur France Inter.
Claude et Evelyn viendront présenter leur livre et le dédicacer.
La rencontre sera animée par Charles SOUSSAN
Dimanche 24 novembre à 15h
Au Centre Culturel André Neher
6 impasse Copernic
44000 Nantes
Entrée libre
Nov 07
Conférence sur les fêtes juives
Le 22 octobre 2023, à l’occasion de l’Assemblée générale de l’AJCF groupe de Nantes, M. Ariel Bendavid, rabbin de Nantes, avait donné une conférence sur les fêtes juives.
Il se propose de terminer ce cycle :
dimanche 17 novembre 2024 à 15 h
au CCAN, 6 impasse Copernic à Nantes
L’an dernier, ce fut passionnant.
Il en sera certainement de même le 17 novembre.
N’hésitez pas à venir nombreux.
Nov 07
« Comme l’espérance est violente »
Dans notre rubrique « Lis, lisons, lisez… » nous sommes heureux d’accueillir la recension réalisée par Maddy VERDON, ancienne présidente de l’AJC groupe de Nantes. Elle concerne le dernier ouvrage du Grand Rabbin Haïm KORSIA :
« Comme l’espérance est violente«
« Quelques réflexion sur le dernier ouvrage de Haïm Korsia
« Au mois de mai 2024, le Grand Rabbin Haïm Korsia a fait paraître un nouvel ouvrage aux Editions Flammarion. Cet ouvrage porte un titre emprunté au poème « Alcools » de Guillaume Apollinaire : « Comme l’espérance est violente »
« Dans cet essai, le Grand Rabbin nous emmène avec lui dans une réflexion sur l’espérance. Un sujet décalé dans ce monde qui ne vit que violence, incertitude sur le présent et angoisse sur l’avenir…
« Cet homme de foi ose proposer à ses lecteurs ce qui nourrit sa vie malgré l’horreur du 7 octobre 2023, l’espérance en l’homme, l’espérance dans sa capacité à faire ensemble « Je crois à ce qui nous élève et nous rassemble ».
« Tout au long des 200 pages de cet essai, Haïm Korsia nous propose, en lien avec les textes bibliques, sa vision de l’homme dans ce qu’il a de plus noble, dans sa capacité à faire mieux, dans l’occasion qu’il se donne de se rassembler avec les autres hommes dans un souci d’intérêt général « Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’on te fasse ».
« Ainsi, il écrit, qu’il n’est pas utile de se ressembler pour se rassembler. Bien au contraire, faisons taire nos divisions et enrichissons-nous des capacités extraordinaires que nous pouvons développer au sein d’une fraternité vraie. « Pour ceux qui croient, ceux qui ne croient pas, ceux qui ne savent pas en quoi croire encore à quelque chose, le combat est le même : c’est en donnant que l’on reçoit, en accueillant que l’on s’enrichit, en partageant que l’on grandit »
« Cet ouvrage est lumineux dans le monde que nous vivons actuellement. Il nous ramène à ce que nous avons de meilleur. Il nous ramène à l’espérance, à cette petite fille Espérance de Charles Peguy qui n’est pas morte en chacun de nous. Elle n’est qu’assoupie et ne demande qu’à se réveiller pour aider le monde à retrouver la voie de la fraternité.
« Dans la conclusion de son ouvrage, le Grand Rabbin Haïm Korsia fait une synthèse de l’état du monde et plus précisément de celui de la France. Cela l’amène à écrire dans sa longue conclusion « A la perte de sens qui nous menace peut succéder une profusion de sens : ceux-là, ce sont les artistes, les poètes, les imaginatifs et les créatifs qui nous les offrent. Il n’y a pas de désespoir qui tienne dès lorsque l’on entre dans l’action, que l’on envisage de ne pas refaire les choses telles qu’elles ont toujours été mais plutôt de les faire tout autrement. »
« Voici une belle réflexion à lire pour nous redonner confiance et espérance ! »
Titre Comme l’espérance est violente
Auteur Haïm Korsia, Grand Rabbin de France
Editeur Flammarion
Nov 01
Sim’hat Torah et Toussaint
Voici une surprenante comparaison mais un excellent article de M. Jean-Dominique DURAND, président de l’AJCF, article que l’on peut trouver sur le site de l’Amitié judéo-chrétienne de France.
Nous vous proposons le début de l’article. Vous pourrez continuer la lecture sur le site de l’AJCF.
« Sim’hat Torah, les 24 et 25 octobre 2024, est la dernière des grandes fêtes du mois de Tichri (Roch Hachana, Yom Kippour, Souccot). C’est une fête joyeuse qui marque la fin et le début du cycle annuel de la lecture de la Torah sur le rouleau d’un Sefer Torah. Les fidèles sortent les rouleaux et dansent avec ceux-ci dans les bras. C’est un jour de joie.
À Toussaint, le 1er novembre de chaque année, les chrétiens honorent leurs saints connus et inconnus, et le lendemain, tous les morts, c’est le jour du plus grand fleurissement des cimetières.
Sim’hat Torah et Toussaint sont deux fêtes très différentes, mais cette année, rapprochées par leur proximité dans le calendrier.
Les deux fêtes n’ont guère de points communs, mais cette année, comment ne pas se souvenir de Sim’hat Torah de l’an passé, le 7 octobre 2023 ?
Ce jour-là, un pogrom à visée génocidaire a surgi en terre d’Israël, bouleversant à jamais cette belle fête. Il a rappelé que la Shoah n’est pas terminée, la volonté de détruire le peuple juif habite toujours nombre d’esprits. Sim’hat Torah 2023 est pour tous les juifs et pour leurs amis, un jour de tristesse. Ici la fête juive rejoint dans le recueillement la célébration chrétienne. »…
Pour continuer la lecture : https://www.ajcf.fr/Shim-hat-Torah-et-Toussaint.html
Profitez-en pour explorer le site de l’AJCF, qui vous tient au courant de la vie de notre association
et n’hésitez pas à vous abonner à notre blog :
https://www.ajcnantes.fr
Oct 23
Sim’hat Tora – La fête de la Tora
Dans le calendrier juif, c’est la fin des fêtes d’automne mais c’est surtout la fin du cycle de lecture de la Tora et le début du nouveau cycle : c’est la fête de la Tora, ou plus exactement de
« la joie de la Tora » (Sim’hat Tora).
Elle a lieu le 23 Tichri, en conclusion de la fête de Souccot,
cette année vendredi 25 octobre 2024 (début jeudi 24 au soir).
Sim’hat Tora n’est pas d’origine biblique. Cette fête ne vient pas non plus du Talmud. Elle est liée, en fait, au cycle des lectures de la Tora. Elle est apparue vraisemblablement au IXème siècle. Sim’hat Tora clôture le cycle annuel de lecture de la Tora. Au cours de cette fête on remercie Dieu pour le don de la Tora, au moment où recommence le nouveau cycle annuel de lecture..
Sim’hat Tora se caractérise par un office particulièrement joyeux.
Après avoir enchaîné la lecture des derniers versets du Deutéronome (dernier livre de la Tora) et les premiers de la Genèse (« Au commencement… »), tous les rouleaux de la Tora sont sortis de l’arche sainte et portés par les fidèles, grands et petits, qui tournent sept fois autour de l’estrade de lecture (la bima), chantant et dansant en joyeuse procession. En Israël, ces processions débordent souvent dans les rues. C’est en effet l’occasion de grandes réjouissances dans les communautés juives d’Israël et de la Diaspora à travers le monde.
Après les « jours redoutables » de Roch haChana et de Kippour, les fêtes de Tichri, dans le calendrier hébraïque, s’achèvent dans la joie de Soukkot et de Sim’hat Tora : c’est la joie de la lecture de la Tora !
Vous pouvez vous rendre sur le site de l’Amitié judéo-chrétienne de France à l’adresse suivante : AJCF. Vous y trouverez quelques informations sur le sens de cette fête et notamment un renvoi au site d’Akadem, le campus numérique juif, pour une conférence du rabbin Philippe Haddad, que nous connaissons bien à Nantes, et qui a reçu le 11 juillet 2021 le prix de l’Amitié judéo-chrétienne de France, lors de la session « Découvrir le judaïsme » qui s’était tenue à Nantes au Loquidy du 9 au 12 juillet :
Sim’hat Tora : la Tora au bout du rouleau.
Pour avoir une idée de la joie immense de cette fête autour des rouleaux de la Tora, vous pouvez regarder cette vidéo :
Hag samea’h à tous nos amis
Joyeuses fêtes !
Oct 17
La fête de Souccot (« le temps de notre réjouissance »), fête des cabanes
La fête de Souccot fait suite, dans le calendrier hébraïque, aux « jours redoutables », les dix jours de téchouva entre Rosh haChana et Yom Kippour. On passe d’un monde à un autre. Ces « jours redoutables » sont en effet associés au jugement, au pardon et à l’expiation. A Souccot en revanche, tout change : ne désigne-t-on pas cette fête, dans la littérature juive, comme « le temps de notre réjouissance » (zéman sim’haténou) ?
« En 5785 (2024), Soukkot (ou Souccot, Soukot, Soucot, Souccoth …) se célèbre
à partir du jeudi 17 octobre (mais commence le mercredi soir 16, la veille)
et se termine le 24 octobre, avant Simhat Torah le 25 octobre.
סכות
Souccot fait partie des trois fêtes de pèlerinage, avec Pessah et Chavouot, appelées ainsi parce qu’elles impliquaient un pèlerinage à Jérusalem lorsque le Temple existait encore.
Fête des « Tentes », des « Cabanes » ou des « Tabernacles », elle commence le 15 Tichri (qui correspond, selon les années, aux mois de septembre ou octobre dans le calendrier grégorien), et dure huit jours (sept en Israël et dans le judaïsme réformé), dont seul le premier est totalement férié. Elle est immédiatement suivie par une autre fête, Sim’hat Tora (la joie de la Tora).
Souccot est une fête universelle : C’est aussi la fête des Nations et à l’époque du Temple on y offrait des sacrifices pour les 70 Nations.
Mais Souccot est LA fête par excellence. Dans la Tora déjà elle est nommée « la fête » sans autre adjectif, et cette appellation a été reprise dans la loi orale
Divers rites de commémoration s’y rattachent, parmi lesquels la prescription pour les Juifs de résider (au minimum prendre leurs repas) dans une soucca (une sorte de hutte, souvent décorée), et celle des quatre espèces végétales… »
Ce ne sont là que quelques lignes de présentation de Souccot, que nous reprenons au site de l’AJCF, pour vous inviter à vous rendre sur le site même de l’AJCF, où Anne-Marie Dreyfus vous explique, dans un super article, la soucca et la mitsva (commandement) des 4 espèces.
A propos des 4 espèces, dont on nous dit que la signification est multiple, en voici encore une autre empruntée au mouvement ‘Habad Lubavitch de France :
Les quatre Espèces.
« En quoi le bouquet de feuilles agrémenté d’un fruit inconnu a-t-il une signification si hautement spirituelle ?
La Mitsva si spéciale des Arba Minim (4 espèces – le Loulav, l’Etrog, les Hadassim et les Aravot – symbolise l’unité et l’harmonie.
Les 4 espèces représentent quatre profils spirituels :
— Le LOULAV (branche de palmier) provient d’un palmier dattier dont le fruit est délicieux, mais qui n’a pas d’odeur. C’est le symbole de l’érudit accompli – qui possède de vastes connaissances mais peu d’enthousiasme pour les Mitsvot.
— Les HADASSIM (branches de myrte) ont une bonne odeur mais pas de goût : ce sont les personnes qui agissent mais qui ne se distinguent pas dans l’étude de la Torah.
—Les ARAVOT (branches de saule) n’ont ni goût ni odeur, comme les personnes qui se contentent de vivre sans plus.
— L’ETROG (cédrat) a un bon goût et une bonne odeur. Il symbolise celui qui est parfait, dont l’érudition rivalise avec l’accomplissement scrupuleux des Mitsvot..
En unissant ces Quatre Espèces dans un bouquet bien réel, nous symbolisons l’unité du peuple juif. De même que chacune de ces quatre Espèces est nécessaire pour former un set complet, de même le peuple juif ne peut être complet que quand tous ses éléments sont présents. »
Signalons que la fête des Tentes est mentionnée dans l’évangile de Jean : Jésus hésite à monter à Jérusalem où il se savait en danger, mais ses frères l’incitent à se faire connaître à la foule qui y sera présente à l’occasion de la fête des Tente (Jn 7,1-4).
(Ceci une vidéo faite par la Custodie de Terre Sainte. Mais elle garde tout son intérêt !)–https://www.google.com/search?client=opera&q=video+souccot&sourceid=opera&ie=UTF-8&oe=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:36bd4f92,vid:WcapzSS5VBg,st:0
Il existe une coutume largement répandue qui consiste à lire le livre de Qohelet à Souccot. Peut-être avez-vous déjà lu ce livre (souvent appelé L’Ecclésiaste). Mais peut-être voulez-vous en savoir davantage. Alors, n’hésitez pas : rendez-vous ici, sur la chaîne Youtube de l’AJCF Nantes (c’était pendant le Covid, nous étions novices en moyens vidéo, mais le contenu vaut la peine, vraiment).
Pour approfondir cette fête de Souccot, le campus numérique juif AKADEM consacre un certain nombre de conférences aux différentes fêtes de Tichri, notamment celles de Claude Rivline : Kipour et Soucot, de la joie à la joie
ou Le traité Souca (introduction au Talmud)
ou encore la conférence du Rabbin Philippe Haddad, intitulée « A l’ombre de Dieu« , sur la Soucca : origine et significations.
Hag Souccot Saméa’h
Joyeuses fêtes de Souccot à tous nos amis !
Chanceux que vous êtes ! Vous avez là tout l’article du blog de l’AJC groupe de Nantes à propos de Souccot cette année. Ceci pour vous inviter à vous y rendre de temps en temps et pourquoi pas à vous y abonner .
L’adresse du blog : https://ajcnantes.fr/
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